Pour la petite histoire:
La feuille de Coca était autrefois considérée par les boliviens comme une plante sacrée. Elle servait pour les rites spirituels, a invoquer les esprits et rentré en contact avec l´autre monde, et aussi utilisée par les Incas comme anesthésiant local pour des prouesses médicales telles que des trépanations cérébrales ! Et enfin comme objet d´échange.
Pour les indigènes, cette plante s´utilisait lors d´une rencontre, comme présent ou tout simplement comme échange. 2 personnes se rencontrent et s´échangent qq feuilles de coca en guise de partage et d´amitié réciproque.
A l´arrivée des espagnoles, bien que diabolisée dans un premier temps par une Eglise soucieuse que les rites autour de la coca puissent constituer un obstacle à la christianisation des peuples de la région, ses bienfaits physiologiques seront par la suite largement mises à profit par les conquistadores, les feuilles sont privatisées et sont revendues aux mêmes indigènes une fortune.
Non seulement la plante devient une monnaie d´échange, chose improbable pour les habitants, mais en plus il leurs faut l´acheter aux étrangers!!! Una locura
C’est au milieu du 19e siècle que l’histoire de la coca va connaître un tournant capital, avec la découverte, en Europe, de la cocaïne.
Première mesure répressive en la matière, la loi Harrisson sur les narcotiques interdit en 1914 la cocaïne naturelle aux Etats-Unis. La campagne des Etats-Unis contre les drogues en général, et la coca en particulier, vient de commencer. Elle acquiert une dimension internationale avec l’adoption en 1936 par la Convention de Genève « pour la suppression du trafic illicite des drogues nocives ».
Publicité et propagnande
Du plus anciens a aujourd´hui
Eh oui, tout le monde boit de la Coca-Cola, même le Fidel compagñero!
A la suite des espagnols arrivent avec leur gros sabot les états-Unis!
Il interdisent la vente et la consommation de la plante mais s´autorise le droit d´importer des tonnes et des tonnes aux STATES pour la production de la fameuse Coca-Cola!
Suivant les années la répresion fut tres forte. L´organisation de milices chargées de débusqués les traficants a donné lieu a ce qu´on connait aujourd´hui chez nous qt a "la traque aux sans papiers"... Perquisitions, arrestations, climat de terreur, dénonciation, violance...
Premier président bolivien à rompre avec la politique états-unienne de la « coca zéro », l’éradication forcée des arbustes de coca, Evo Morales s’est engagé à éliminer leurs feuilles de la liste noire des Nations Unies. Un sujet qui sera au centre du futur forum mondial tenu en Bolivie au mois d´avril.
EXEMPLE de la bonne foi de l´entreprise Coca:
Un exemple clair de l’impitoyable et inhumaine expansion de Coca-Cola se situe au Guatemala où, depuis que le syndicat des travailleurs de Coca-Cola a commencé à se construire, en 1968 jusqu’en 1980, six de ses dirigeants ont été assassinés et quatre portés disparus. Autre méthode criminelle utilisée par l’entreprise : l’occupation militaire d’usines et de sièges syndicaux par des corps armés de la transnationale et, dans ce cas, faisant partie de l’armée guatémaltèque. Durant une de ces occupations, le 21 juin 1980, EDGAR RENE ALDANA RUANO, travailleur de la fabrique occupée, fut torturé et assassiné.Merci a la maldita Coca-Cola!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire